L'asexualité est une identité sexuelle peu étudiée qui est rarement, sinon jamais, correctement représentée dans la culture populaire. L'hypothèse générale est que ceux qui s'identifient comme asexués n'ont aucun intérêt dans le sexe ou dans la poursuite d'expériences sexuelles. Pourtant, selon une nouvelle étude publiée dans le Archives du comportement sexuelLa moitié des femmes asexuées et les trois quarts des hommes asexuels ont déclaré avoir des fantasmes sexuels et se masturber.
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L'étude propose qu'au lieu des fantasmes des participants asexués qui canalisent les désirs sexuels profonds et sombres sur lesquels ils souhaitent agir, les fantasmes canalisent des désirs profonds et sombres qui finissent là – aucune action recherchée. La déconnexion nécessite plus de recherche, mais quelque chose empêche les participants asexuels (351 au total) de transformer la fantaisie sexuelle en une réalité vécue.
L'étude a également demandé aux participants asexuels ce dont ils rêvaient. Selon Science of Us, leurs réponses ont souvent eu lieu à la troisième personne. "Je rêve de couples d'hommes sexuellement fictifs et de leurs relations et événements romantiques et sexuels", a déclaré un chercheur de 19 ans aux chercheurs.
Une femme de 35 ans a dit:
J'aime regarder les autres personnes apprécier leur sexualité. J'aime le rôle d'être strictement un voyeur, mais j'aime être la cause de leur sexualité. Bien que je sois très excité par ces situations, je ne parlerais pas d'excitation sexuelle. Bien que mon corps soit clairement éveillé par cela, je n'ai aucun désir de participer à cette excitation.
Encore une fois, il y a une déconnexion. Mais ce qui est clair, c'est que la déconnexion entre les personnes sexuelles et asexuelles n'est pas aussi évidente que la science (très limitée) assumée.